OEUVRE

EN COUVERTURE
DE “BRÛLER L’EMPREINTE”,
par Marina de Van :


“NO ONE IS INNOCENT”

par © Sabine Agostini, 2019.

Liens de l’artiste :

Site web : sabineagostini.com

Instagram : Sabine Agostini
Blog : grainedephotographe.com/les-nightwalkers-de-sabine-agostini/

 
 

“BRÛLER L’EMPREINTE”, de Marina de Van

 

« Peut-être que ce sera la peur qui finira par avoir sa peau. Dans le noir et le silence, choquée par des quantités massives d’excitants et de calmants, la peur réussit à rester claire et vive. Rester vivante. Rester lucide, quand elle le peut. Ne pas oublier de respirer. Ne pas oublier de bouger. […] Parler, elle a renoncé. Le monstre n’entend pas, il n’entend rien. » 

Myriam, une scénariste de films d’horreur, reçoit une vidéo glaçante. Elle y découvre Lucie, sa sœur, enchaînée dans une pièce glauque où un homme masqué la frappe et l’oblige à sniffer de la cocaïne. Rachel, officiant à la PJ de Paris, prend en charge l’enquête. La personnalité de Lucie rend complexe le début des investigations, et une nouvelle disparition suggère la présence d’un tueur en série. Sur fond d’addictions, de fausses pistes en révélations, Rachel et Myriam seront confrontées à leur part d’ombre. Dans cette obscurité où les masques tombent, quelle est la clé de l’énigme ?

 
 

BIOGRAPHIE

Écrivaine, réalisatrice, scénariste et actrice française, Marina de Van a collaboré avec François Ozon, en tant que comédienne, et co-scénariste (Sous le sableHuit Femmes), et a réalisé de nombreux longs-métrages, dont Dans ma peauNe te retourne pas et Dark Touch.  Après Lettre à ma chatte, (Abstractions, 2022), Marina de Van revient avec Brûler l’empreinte, un polar noir à l’intrigue troublante, et d’une implacable maîtrise.

 

Crédit photo de Marina de Van : © Mathieu Zazzo